Les mémoires de Poulidor

Tant qu’elle est disponible sur DailyMotion (oui, je sais, c’est pas bien, mais, c’est pas moi qui l’y ai mise), j’ai retrouvé les mémoires de Poulidor.
Version DesChiens s’entend.

Incroyables les souvenirs que cette vidéo peut faire remonter… Du coup, un chtit coucou à Fred… l’autre ^^

Au passage, j’ai fini de m’esclaffer (sisi) en regardant :

Le français, c’est facile

C’est quand même bien pensé, le français :

Un gars, c’est un jeune homme,
Une garce, c’est une pute.
Un courtisan, c’est un proche du roi,
Une courtisane, c’est une pute.
Un masseur, c’est un kiné,
Une masseuse, c’est une pute.
Un coureur, c’est un joggeur,
Une coureuse, c’est une pute.
Un professionnel, c’est un sportif de haut niveau,
Une professionnelle, c’est une pute.
Un homme sans moralité, c’est un politicien,
Une femme sans moralité, c’est une pute.
Un entraîneur, c’est un homme qui entraîne une équipe sportive,
Une entraîneuse, c’est une pute.
Un homme à femmes, c’est un séducteur,
Une femme à hommes, c’est une pute.
Un homme public, c’est un homme connu,
Une femme publique, c’est une pute.
Un homme facile, c’est un homme agréable à vivre,
Une femme facile, c’est une pute.
Un homme qui fait le trottoir, c’est un paveur,
Une femme qui fait le trottoir, c’est une pute.
Un péripatéticien, c’est un élève d’Aristote,
Une péripatéticienne, c’est une pute.

Non, le français, vraiment, ce n’est pas compliqué

Marseille et Martine


Les toits de Marseille by night

Enfin rentré de Marseille. Un séjour intéressant à plus d’un titre :

  • La rencontre avec Nicolas, Aka Niriv de FrenchWave. Un grand merci à lui pour la soirée passée.
  • La participation au concours. Très… comment dire…. révélateur et motivant.

Et de retour pour une journée au taff, sur quoi je tombe (d’ailleurs, depuis le blog de Christophe Lauer) ?
Sur une série marrante de « Martine » et un lien que j’avais zappé: le générateur online de couverture de Martine.
Voilà, régalez-vous à créer les votre et en attendant, en voici qui m’ont bien fait marrer :

et un « spécial dédicace » :