C’est quand même bien pensé, le français :
Un gars, c’est un jeune homme,
Une garce, c’est une pute.
Un courtisan, c’est un proche du roi,
Une courtisane, c’est une pute.
Un masseur, c’est un kiné,
Une masseuse, c’est une pute.
Un coureur, c’est un joggeur,
Une coureuse, c’est une pute.
Un professionnel, c’est un sportif de haut niveau,
Une professionnelle, c’est une pute.
Un homme sans moralité, c’est un politicien,
Une femme sans moralité, c’est une pute.
Un entraîneur, c’est un homme qui entraîne une équipe sportive,
Une entraîneuse, c’est une pute.
Un homme à femmes, c’est un séducteur,
Une femme à hommes, c’est une pute.
Un homme public, c’est un homme connu,
Une femme publique, c’est une pute.
Un homme facile, c’est un homme agréable à vivre,
Une femme facile, c’est une pute.
Un homme qui fait le trottoir, c’est un paveur,
Une femme qui fait le trottoir, c’est une pute.
Un péripatéticien, c’est un élève d’Aristote,
Une péripatéticienne, c’est une pute.
Non, le français, vraiment, ce n’est pas compliqué